DIGITALISATION 3D
Nous digitalisons en haute qualité des objets de tailles variées, des pièces de monnaie jusqu’aux avions.
La digitalisation d’objets se fait aujourd’hui principalement à l’aide de 2 techniques : par l’utilisation de scanner 3D et par la photogrammétrie. Nous maîtrisons ces deux techniques et savons au besoin les mixer car chacune présente des avantages et des inconvénients.
L’assemblage des différents types de digitalisation réclame un savoir-faire mais aussi des capacités de calcul et de mémoire importantes.
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La digitalisation par les scanners
Le principal avantage de ce type de digitalisation est sa rapidité et la précision de la géométrie obtenue. En revanche, sa faiblesse réside dans la qualité des textures. C’est pourquoi cette technique sera à privilégier lorsque la fidélité dans la reproduction des formes est prépondérante
MUSÉO 3D a établi un partenariat avec 3DNUM, leader français de la commercialisation des scanners ARTEC.
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3 gammes de scanner sont à distinguer, selon la taille des objets à digitaliser :
Les scanners pour les objets de petite taille

Ces scanners sont conçus pour les petites pièces, jusqu’à quelques centimètres, tels que les bijoux ou les pièces de monnaies.
Les scanners pour les objets de taille moyenne

Ces scanners à main sont adaptés aux objets de quelques dizaines de centimètres à quelques mètres : une tête humaine, un vase, une sculpture, un tableau, etc.
Les scanners pour les bâtiments et objets de grande taille

Les scanners sur pied permettent de traiter les objets de quelques mètres à plusieurs centaines de mètres, en extérieur comme en intérieur. Il peut s’agir de bâtiments ou d’objets industriel (voiture, avion…). Les numérisations à cette échelle présenteront moins de détails et devront presque toujours être complétées par d’autres types d’acquisition ou par de la modélisation 3D.
La digitalisation par photogrammétrie
Cette technique est basée sur un grand nombre de prises de vue haute résolution sous environnement et lumière contrôlés, à l’aide d’un équipement photographique adapté.
Les images sont ensuite traitées et des capacités de calcul importantes doivent être mobilisées pour obtenir une bonne qualité de rendu.
Cette technique est applicable en intérieur comme en extérieur sur des objets de tailles très diverses, d’un médaillon jusqu’à une église.
Son principal avantage réside dans la qualité des textures qu’offre sa base photographique : elle va souvent restituer si fidèlement les objets originaux qu’on aura l’impression d’avoir à faire à des fac-similés.
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